Comme Baudelaire, Diderot fut un critique féroce des Salons de son temps.
Moins lyrique, plus réfléchi, il ne craignit pas non plus d’user de mauvaise foi,
surtout quand il s’est agi de défendre des artistes dont il était l’ami. Ainsi fut-il
un soutien de poids pour le moralisant et larmoyant Jean-Baptiste Greuze…