« La peinture représente, écrivit Vinci dans son Traité de la peinture,
les œuvres de la nature, mieux que la parole ou les lettres... »
Sans doute était-elle pour lui une sorte d’apologie du monde visible.
Georges Seurat partait du principe que plus les points seraient petits,
moins on serait obligé de s'éloigner de la toile pour en apprécier le sujet.
Sous le nom de « divisionnisme », Paul Signac en théorisa une approche
scientifique, basée sur les travaux du chimiste Michel-Eugène Chevreul.
Même si, par le biais de la mythologie ou des religions, la plupart des cultures
l’associent à la fertilité, la naissance et la régénérescence, elles n’oublient pas
que l’eau peut aussi être la cause ou plutôt l’instrument d’immenses désastres.