L’illustration passe encore aujourd'hui pour un art mineur,
une sorte de parent pauvre de la peinture. Ainsi l'œuvre peinte
de Gustave Doré est-elle sous-estimée du fait de sa colossale
production d'illustrateur, pourtant de tout premier plan.
Le brouillard est omniprésent dans la peinture, comme on peut le vérifier avec
Friedrich, Monet ou Turner. Épais au point de rendre indistincts le ciel et l'horizon,
il personnifie l'incertitude humaine, moteur essentiel du romantisme.
Un soir de l'été 1911, un gardien du Louvre constata la disparition
de la Joconde. Mis en cause dans une affaire similaire, Apollinaire
fut soupçonné de l'avoir dérobée pour Picasso. Arrêté, un ouvrier
charpentier italien avoua le larcin mais invoqua son patriotisme.
Dieu dit à Noé: "Entre dans l'arche, toi et toute ta maison. Tu prendras sept couples
de tous les animaux purs et une paire des animaux qui ne sont pas purs. Les autres
n'auront qu'à se débrouiller." Sur le cercueil, d'où sort une main tremblante, on peut
clairement lire l'inscription suivante: "Mort du choléra. Certifié par nous docteurs."
Les saisons, nous l'avons vu, sont universellement symboliques de la fuite du temps,
de ces moments clés que sont la naissance, la croissance et la mort. La première
d'entre elles, comme son nom l'indique, est le prins-temps, qui a inspiré des peintres
tels que Botticelli ou Monet. Il symbolise l'espoir d'un renouveau et d'une floraison.