Monet, ce n’est qu’un œil, disait Cézanne qui le jalousait.
Pourtant si les cubistes héritiers du maître d’Aix ont mené
la peinture à une impasse, ceux du Havrais sont éternels,
qui tentent de saisir ce qui, par nature, est insaisissable.
Un matin d’automne 1970, alors qu’il lit sur sa véranda une biographie de Vincent van Gogh, le songwriter américain Don McLean a l’intuition que la folie du peintre néerlandais est toute relative. Se saisissant d’un sac en papier, il écrit les premières paroles de la chanson Vincent : « Starry, Starry Night », en référence à La Nuit étoilée, l’une des peintures les plus fameuses de l’artiste, exécutée durant son séjour en Provence. La lumière provençale bouleversa Van Gogh, qui alterna dans une folle créativité toiles géniales et séjours hospitaliers. La chanson Vincent a été classée n°1 au Royaume Uni et n°12 aux Etats-Unis. D’autres toiles de la période provençale y sont évoquées…
Claude Monet attribuait à Jongkind l’éducation de son œil,
mais c’est bien Eugène Boudin qui lui mit le pied à l’étrier.
Accompagnant les deux sur le motif, il tenta sans cesse
de capter la lumière changeante des ciels normands.
Plusieurs années avant que Claude Monet ne s'empare du sujet,
les plages normandes deviennent le terrain de jeu privilégié
du peintre Eugène Boudin. Peignant sur le motif et observant
sans idées préconçues la mer et les élégantes qui s'y reflètent,
c'est à Deauville et Trouville qu'il découvre sa propre lumière.
Troisième opus du cycle des Hommes-Dieux consacré par Jean-Paul Savignac à la mythologie gauloise. Après Lougous Longue-Main, après Argantorota Grande-Reine, voici Cernounnos Torque-d'Or. Dieu cornu de la force fécondante, de la fertilité et de l’alternance saisonnière, maître du temps qui s’écoule et de la Nature, il aura cinq vies, sera tué par un aigle royal, renaîtra prince, mourra roi, ressuscitera fils de Nectanos (Neptune), sera tué par Gobannos le forgeron, tuera son jumeau Lougous après l'avoir trompé puis sera tué par lui, avant de se réconcilier avec lui sous le regard enfin apaisé de leur mère et d'épouser Elantiaouinda la Blanche-Biche. Ouf !
Sortie à la Différence courant 2017
Troisième opus du cycle des Hommes-Dieux consacré par Jean-Paul Savignac à la mythologie gauloise. Après Lougous Longue-Main, le plus grand des dieux de la Gaule, après Argantorota Grande-Reine, sa mère, voici Cernounnos Torque-d'Or, son frère jumeau. Dieu cornu de la force fécondante, de la fertilité et de l’alternance saisonnière, maître du temps qui s’écoule et de la Nature, il aura cinq vies, sera tué par un aigle royal, renaîtra prince, mourra roi, ressuscitera fils de Nectanos (Neptune), sera tué par Gobannos le forgeron, tuera Lougous après l'avoir trompé puis sera tué par lui, avant de se réconcilier avec lui sous le regard enfin apaisé de leur mère et d'épouser Elantiaouinda la Blanche-Biche. Ouf !
Sortie aux éditions de la Différence courant 2017
L’exemplarité de l’impressionnisme tient à la nature même
des interrogations que le mouvement eut à affronter,
au premier rang desquelles le rapport fondamental
entre l’œil du peintre et la lumière du monde.
De temps à autre, Les dessous du visible laisseront
la place à une nouvelle chaîne, l’Histoire en Peinture.
Il ne s’agira pas d’y explorer la peinture, mais de conter
l’histoire et les mythes qui ont inspiré les peintres,
croquis, fresques, toiles ou tableaux à l’appui.