Vue de loin, la peinture de Thomas Lawrence peut sembler de cette facture
léchée qu’affectionneront toujours les hérauts de l’académisme. Vue de près,
c’est un enchevêtrement de feuilles mortes et de cheveux d’enfants soulevés
par un vent d’automne, de chairs craquelées et d’armées éphémères.