Apollinaire soutint le pointillisme avec une ferveur presque enfantine :
« Aucun peintre ne me fait songer à Molière comme Seurat », écrivit-il.
« Mais au Molière du Bourgeois gentilhomme qui, comme Le Cirque
ou Le Chahut, est un ballet plein de grâce, de lyrisme et de bon sens. »