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dimanche 6 mai 2018

Chroniques d'art (2)


Apollinaire soutint le pointillisme avec une ferveur presque enfantine :
« Aucun peintre ne me fait songer à Molière comme Seurat », écrivit-il.
« Mais au Molière du Bourgeois gentilhomme qui, comme Le Cirque
ou Le Chahut, est un ballet plein de grâce, de lyrisme et de bon sens. »