Plus proche du romantisme d’un Friedrich que du symbolisme d’un Rossetti,
Arnold Böcklin est pourtant l’un des principaux représentants de ce mouvement,
le peintre qui a le mieux réussi la difficile fusion du rêve et de la réalité, d’une vision
fantastique et d’une représentation figurative, d’un passé fantasmé et du présent.