"Cette poésie, écrivait Diderot dans son Discours sur la poésie dramatique, veut
quelque chose d'énorme, de barbare et de sauvage." Le moins qu'on puisse dire,
c'est que le peintre Ivan Aïvazovski n'a pas fait sienne cette tirade, et que
sa
poésie à lui respirait le calme, la douceur et la paix, du moins à ses débuts.